Je m’appelle Alain et je suis un adepte du plaisir oral, j’adore sentir, lécher et sucer les 2 sexes car je suis bisexuel.

J’ai passé une annonce sur un site internet de BDSM pour une soumission orale pour une à plusieurs femmes en me présentant comme un esclave oral prêt à prodiguer annulingus, cunnilingus jusqu’à la jouissance et à recevoir salives et urines sur le visage et dans la bouche.

Une certaine Marie me répond en me disant qu’elle cherchait un soumis comme moi et me demande quels sont mes trips exacts et mes limites à la soumission.

Je lui réponds que j’adore les odeurs et que j’aimerais avant de se rencontrer qu’elle ne se lave pas pendant 2 à 3 jours pour que son corps sente un maximum et qu’elle me prépare une petite culotte en coton bien odorante et bien puante.

Marie me précise qu’un jour sans se laver elle sentirait beaucoup et que je ne le supporterais pas, mais j’insistais elle acceptait de me rencontrer dimanche soir chez elle, son mari étant camionneur il ne serait pas là ; on était jeudi soir je lui demandais de ne plus se laver jusqu’à dimanche.

Elle me répondit que son mari lui ferait l’amour avant de partir et qu’elle faisait du sport d’ici

Dimanche.

Je lui dis que c’était très bien et qu’alors son corps sentirait la sueur et que son sexe serait très odorant de sueur, de foutre, de cyprine et de pisse et qu’avec ma langue et ma bouche je lècherais tout ça et que cela serait un déluge d’odeurs et un vrai régal.

Elle me répondit que j’étais un vrai cochon mais puisque je le voulais j’allais être servi car elle me précisa qu’elle était une femme fontaine et qu’elle allait m’inonder mon visage de soumis et me remplir la bouche de son plaisir.

Je lui dis que c’était très bien et que c’était mon fantasme de donner du plaisir à une femme fontaine.

Je lui demandais de préparer une culotte en coton qu’elle garderait pendant les 3 jours, elle devait tout le week-end à chaque fois qu’elle allait uriner, ne pas s’essuyer pour qu’elle sente bien l’urine et la sueur jusqu’à dimanche soir elle pouvait la garder pour le sport.

Je lui donnais rendez vous à dimanche et je lui dis que j’étais impatient de la sentir, de la lécher de partout.

Dimanche arriva Marie me reçut chez elle. Elle était en peignoir, elle me dit de me mettre à l’aise en me mettant tout nu et de venir lui enlever son peignoir.

Je me déshabillais entièrement et je m’approchais pour lui enlever son peignoir, elle était torse nu avec sa petite culotte bien sale et odorante, elle avait une poitrine magnifique et des fesses bien rebondies qui remplissaient sa culotte.

En m’approchant tout prés je commençais à percevoir l’odeur musquée et épicée de sa peau je mis mon visage contre sa poitrine pour sentir l’odeur de sa peau et lui lécher les seins et mordiller ses tétons .Elle se pâmait de plaisir et souleva un de ses bras pour que je respire et sente son aisselle pleine de poils, cela sentait très fort l’odeur de transpiration, elle me dit : « sniffe bien sale cochon « cela m’excitait grave et je bandais à m o r t à sentir son odeur.

Elle appuya sur mes épaules pour que je mette à genoux et me colla sa petite culotte sur le nez, alors là cela dépassait l’entendement, l’odeur était hyper forte on distinguait l’odeur de sa chatte mais aussi de pisse séchée ; elle frotta carrément sur mon nez pour m’imprégner de ses odeurs, j’en prenais plein le nez cela était hallucinant et excitant cette odeur.

Elle enleva sa culotte, la mit à l’envers et me la frotta sur le visage aux endroits les plus odorants et me dit : « lèche là « .

Je respirais et sniffais sa culotte puante et je commençais à la lécher cela avait un goût très salé de pisse et de sueur.

«Allonges toi sale esclave, tu vas bien me bouffer ma chatte et mon cul sale depuis jeudi »

C’est ce que je fis, alors Marie se mit au dessus de moi, j’avais une vue magnifique de son corps de noire bien en chair complètement dénudée ; elle s’accroupit au dessus de mon visage à l’envers pour me faire sentir son cul odorant.

Je percevais l’odeur très forte et musquée de cul, elle écarta ses 2 fesses et me colla son petit trou sur le nez ; alors je respirais l’odeur de son cul. Ensuite elle s’assit carrément dessus mon visage et se frotta sur mon nez pour bien s’exciter et presque m’étouffer en face-sitting. Le nez sur œillet, elle se souleva légèrement et approcha son cul de ma bouche et me dit « lèche bien et nettoie mon cul sale avec ta langue sale porc. »

Je léchais bien son cul en long et en large et je passais ma langue sur sa pastille fripée elle gémissait de plaisir avec cette feuille de rose appliquée. Elle en redemandait et c’est à pleine bouche que je lui bouffais le cul ; elle écarta ses fesses pour que je lui rentre carrément ma langue dans son œillet, elle se tordait de plaisir sur la caresse elle n’en pouvait plus.

Alors elle se mit dans l’autre sens pour me coller sa moule au visage et là je sentais son sexe qui puait la crevette et le sexe, la pisse et la sueur ; cela m’excitait à m o r t toutes ces odeurs.

Elle se frotta carrément sur mon visage, elle utilisait toutes les aspérités de ma face pour se faire plaisir et se branlait franchement dessus, elle mouillait beaucoup et j’avais le visage plein de cyprine.

A ce rythme là elle allait jouir trop vite alors elle arrêta et se mit à la bonne hauteur pour je lui lèche bien la moule,je passais ma langue partout les grandes lèvres , les petites lèvres et son clitoris ,elle le sortit entièrement de son capuchon pour me le coller dans la bouche il était en érection et faisait un bon centimètre et demi, je le pris entre mes lèvres et je le suçotais et le mordillais pour bien l’exciter et je me mis à le téter alors Marie se mit à crier de plaisir. Elle se tordait dans tous les sens et se mit à mouiller beaucoup, je la buvais littéralement à la source, la bouche collée à son abricot juteux.

Elle me dit : « je n’en peux plus, j’ai envie de jouir et t’inonder ton visage d’esclave, ouvres ta bouche en grand et tires la langue. »

Alors elle se souleva un peu et elle finit de se branler pour jouir très fort et m’envoyer son jus de femme fontaine, ce fut les grandes eaux j’en avais partout et plein la bouche de son jus, c’était exquis et je me régalais et j’avais le visage complètement trempé de son plaisir. Elle finit en se frottant un peu sur ma bouche alors je passais légèrement ma langue sur son sexe pour les dernières gouttes.

Alors elle me dit : c’est pas fini j’ai envie de pisser, viens avec moi dans la salle de bains. »

J’allais à la salle de bains avec elle, je m’allongeais dans la baignoire, elle se mit au dessus de moi le sexe au niveau de ma bouche et me dit : » ouvres bien ta bouche pour boire mon champagne doré c’est un bon millésime tu vas bien te régaler ».

Alors je fis son sexe s’entrouvrir et les premières gouttes de pisse s’écoulèrent directement dans ma bouche. Elle y allait doucement pour que la boive au fur à mesures et au bout d’un moment elle poussa très fort et vida entièrement sa vessie sur mon visage ; je n’arrivais plus à gérer et j’en avais partout et cela avait un goût assez fort et salé mais pas désagréable.

Elle colla son sexe à ma bouche pour que je lèche les dernières gouttes de pisse.

Elle me dit je vais te doucher et tu vas te branler en même temps mais progressivement je vais diminuer l’eau chaude et tu vas jouir sous le jet d’au froide. Elle ouvrit le jet en mélangeant eau chaude et eau froide et commença à fermer l’eau chaude et moi je me branlais avec une main et me malaxais les boules avec l’autre, je commençais à bien m’exciter et petit à petit l’eau était de plus en plus froide, elle était maintenant glacée et Marie dirigeait le jet sur mon cul et mes couilles et je me branlais à toute vitesse et je jouis à longs jets en criant ,cela avait été fulgurant et le froid de l’eau sur mes couilles et mon cul avait accentué le plaisir en agissant sur ma prostate.

Ensuite je me douchais normalement et me r’habillais ; Marie était satisfaite de ma prestation et me dit qu’avec d’autres femmes elle avait fondé un club et qu’elle organisait des soirées de soumission et que j’avais été à la hauteur de ce qu’elle recherchait comme esclave et que si je le voulais bien je pourrais être leur esclave pour dimanche soir prochain.

J’acceptais avec enthousiasme son invitation et lui demandais qui étaient les autres femmes.

Marie me répondit quelles étaient 10 en tout et de nationalités différentes et que chacune avait leur spécialité.

Il y avait Samira une beurette bien ronde et femme fontaine aussi et sa spécialité c’était la sodomie des soumis.

Il y avait Nathalie une slave rousse femme fontaine et bien voluptueuse avec comme spécialité les sévices avec martinet à longues ou courtes lanières.

Il y avait Olga une russe immense de 2 mètres femme fontaine et une grande vessie capable de pisser pendant plus de 5 minutes , sa grande spécialité c’est la fessée à main nue car ses mains ce sont des vrais battoirs tellement elle sont grandes puis Miko une asiatique assez fine et menue mais spécialiste des pinces et des aiguilles.

Il y avait Sophie une blonde avec une grosse poitrine et un gros cul et sa spécialiste de l’étouffement entre ses seins et ses fesses et une prédilection pour les coups de ceintures.

Il y avait Sylvie une brune très belle spécialiste des coups avec canes, badines et grandes lanières en cuir épaisses.

Il y avait Maria une portugaise bien en chair très poilue spécialiste de la cire de bougie chaude.

Il y avait Indira une hindoue voluptueuse spécialiste des chatouilles.

Il y avait enfin Natacha une suédoise grande blonde bien potelée et spécialiste du fouet

Elles avaient un hangar bien isolé et bien aménagé pour le SM dur et la soumission des esclaves invités, on pouvait les attacher pour bien les t o r t u r e r, elle avaient aussi une chaise spéciale pour bien uriner sur leur esclave et tout le matériel nécessaire pour soumettre.

Je me réjouissais d’avance de subir dimanche prochain les supplices et la soumission de ces 10 femmes et je lui dis à dimanche prochain.

C’est pas de moi c’était signé Oralman